Les Spurs l'emportent à domicile sans Wembanyama, écrasent les Grizzlies en fin de match

Les Spurs l'emportent à domicile sans Wembanyama, écrasent les Grizzlies en fin de match

Les Spurs l'emportent à domicile sans Wembanyama, écrasent les Grizzlies en fin de match

Les San Antonio Spurs ont remporté une victoire surprenante et tonitruante contre les Memphis Grizzlies le 18 novembre 2025, à domicile, 111-101, malgré l’absence de leur star Victor Wembanyama. Ce n’était pas une victoire de prédilection, mais une bataille gagnée dans les dernières secondes, où la détermination a remplacé la puissance. Sans leur géant de 2,19 mètres, sans Castle — dont le nom apparaît dans les titres locaux mais dont le rôle reste flou — les Spurs ont montré qu’ils ne sont pas qu’un seul homme. Et ce n’est pas la première fois que l’équipe surprend.

Un début cauchemardesque, une fin légendaire

Les Grizzlies ont lancé le match comme une tempête : 8-0 du début, 17 % de réussite aux tirs pour San Antonio après 90 secondes. Le coach Mitch Johnson a dû appeler un timeout avant même que les Spurs n’aient eu le temps de respirer. 10 sur 12 tirs manqués. C’était l’effet Wembanyama : les Grizzlies, eux aussi sans leur meneur Ja Morant, ont profité de l’absence du géant pour dominer les rebonds (59-38) et accumuler 22 points sur secondes occasions. Pourtant, à trois minutes du buzzer, les Grizzlies menaient 101-100. Tout semblait perdu pour San Antonio.

Et puis, tout s’est effondré pour Memphis.

Les Spurs ont lancé une série de 11 points sans réponse. Une séquence de folie. Harrison Barnes, avec 23 points sur 9 sur 14, a tout changé. Sept points consécutifs en 30 secondes : un hook en mouvement, un floater à neuf pieds, puis un tir à trois points. Le public a crié. Les joueurs des Grizzlies ont regardé leurs chaussures. Le jeu était fini. C’était une leçon de leadership, pas de talent.

Les héros du jour : Fox et Johnson portent l’équipe

De’Aaron Fox a été le moteur de cette remontée. 26 points, 3 passes décisives, 3 paniers à trois points, 2 interceptions. Il a mené l’attaque avec une précision froide, surtout en fin de match. Son dernier tir, décrit dans les highlights comme « un fantastique finish », a scellé la victoire. Keldon Johnson, lui, a ajouté 18 points, avec une constance rare. Et Barnes ? Il n’a pas seulement marqué — il a pris les rênes. Son geste de 7 points consécutifs n’était pas un coup de chance : c’était une démonstration de classe, de calme sous pression.

Leur efficacité en quatrième période (25-14) a tout changé. Alors que les Grizzlies ont raté leurs trois derniers tirs, les Spurs ont tout converti. Même les remplaçants ont joué un rôle : Luke Kornet a bloqué deux lancers francs décisifs, et Jeremy Sochan a fait des passes décisives à des moments critiques. La défense, enfin, s’est réveillée. Pas de Wembanyama ? Pas de problème. Ils ont joué en équipe.

Les Grizzlies : quand la domination ne suffit pas

Les Grizzlies ont eu tout pour gagner. Cedric Coward a dominé avec 19 points et 11 rebonds. Jaren Jackson Jr. a ajouté 14 points sur secondes occasions. Ils ont contrôlé le jeu intérieur, mais ont perdu la bataille mentale. À 101-100, ils ont choisi de ne pas attaquer. Ils ont attendu. Et ça leur a coûté la victoire.

Leur série noire s’allonge à cinq défaites consécutives. Leur bilan sans Morant ? 76-93 depuis deux saisons. Ce n’est pas une coïncidence. Quand le meneur manque, l’attaque s’effondre. Et cette fois, même avec les rebonds, ils n’ont pas su finir. Le coach Taylor Jenkins a reconnu après le match : « On a eu les armes. Mais on n’a pas eu la tête. »

Un signe fort pour les Spurs : la profondeur gagne

Les Spurs, eux, sont à 10-4 cette saison. Sans Wembanyama, leur bilan historique est de 18-31. Cette victoire change tout. Elle prouve qu’ils ont construit autre chose qu’un projet autour d’un seul joueur. Ils ont une culture. Une identité. Une capacité à s’adapter. Deux jours avant ce match, ils avaient perdu contre Dallas. Ce soir, ils ont gagné contre une équipe plus forte physiquement. C’est un tournant.

Leur prochain match ? Contre les Atlanta Hawks, jeudi 21 novembre. Les Grizzlies, eux, reçoivent les Sacramento Kings. Les deux équipes sont en croisement de trajectoire : l’une qui monte, l’autre qui s’effrite.

Le contexte : quand la logique du basket se dérègle

Le basket moderne est souvent réduit à une équation : plus de stars = plus de victoires. Mais ce match a démontré le contraire. Wembanyama est absent. Morant est absent. Et pourtant, c’est l’équipe la moins star qui a gagné. Parce qu’elle a joué ensemble. Parce qu’elle a cru en elle. Parce qu’elle a su réagir.

Les Spurs ont fait ce que peu d’équipes font : transformer un désavantage en force. Ils ont eu moins de rebonds, moins de points en seconde occasion, moins de domination physique. Mais ils ont eu plus de calme, plus de précision, plus de cœur. Et dans le basketball, c’est souvent ça qui décide.

Foire aux questions

Pourquoi cette victoire est-elle significative pour les Spurs sans Wembanyama ?

Cette victoire est cruciale car elle brise le mythe selon lequel les Spurs ne peuvent pas gagner sans leur star. Leur bilan sans Wembanyama est historiquement médiocre (18-31), mais ici, ils ont gagné en jouant collectif, avec Fox et Barnes comme moteurs. C’est une preuve que leur culture de jeu dépasse un seul joueur.

Quel a été le rôle de Harrison Barnes dans la victoire des Spurs ?

Barnes a marqué 23 points, dont sept consécutifs en fin de match, décisifs pour inverser la tendance. Son panier à trois points à 53 secondes du buzzer a scellé la victoire. Il a montré un calme remarquable sous pression, combinant habileté technique et intelligence tactique — un leader en situation critique.

Pourquoi les Grizzlies ont-ils perdu malgré leur domination au rebond ?

Malgré 59 rebonds et 22 points sur secondes occasions, les Grizzlies ont raté leurs derniers tirs décisifs et manqué de concentration défensive. Leur attaque s’est enlisée en fin de match, et leur manque de créativité sans Morant les a rendus prévisibles. La pression mentale a été plus forte que leur avantage physique.

Comment De’Aaron Fox a-t-il influencé la fin du match ?

Fox a été le principal moteur offensif en quatrième période avec 12 de ses 26 points marqués dans les 8 dernières minutes. Son drive, ses changements de rythme et sa précision au tir ont forcé les Grizzlies à se déplacer, ouvrant la voie à Barnes et Johnson. Son dernier panier, décrit comme « phénoménal », a été le coup de grâce.

Quelle est la situation actuelle des deux équipes après cette défaite ?

Les Spurs, à 10-4, sont en pleine forme et en tête de la division Sud-Ouest. Les Grizzlies, à 4-11, s’enfoncent dans une crise de confiance avec cinq défaites consécutives. Sans Morant, leur jeu offensif manque de fluidité, et leur défense devient fragile en fin de match — un problème récurrent qu’ils doivent résoudre avant le prochain match contre Sacramento.

Qui est Castle, mentionné dans le titre de l’article ?

Le nom de Castle n’apparaît pas dans les statistiques officielles du match. Il s’agit probablement d’une erreur de titrage ou d’un joueur mineur non répertorié dans les lignes de départ. Aucun joueur portant ce nom n’est actif dans l’effectif des Spurs ou des Grizzlies. La référence semble être un artefact de la source originale, sans impact réel sur le match.

Écrire un commentaire

Les champs obligatoires sont marqués *